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Comment combattre la déprime saisonnière ?

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30/03/2020

L’hiver québécois est rigoureux, enneigé, froid et souvent très long … Le Professeur Marc Hébert, spécialiste des effets de la lumière sur le cerveau, explique que la déprime saisonnière toucherait 25% de la population québécoise.

Ce phénomène est directement lié à la diminution de la lumière qui entraine une baisse d’activité de la sérotonine, un neurotransmetteur communément appelé « l’hormone du bonheur », et du niveau de mélatonine, « l’hormone du sommeil » qui régit la régulation des rythmes chronobiologiques surtout la nuit. En cause également, la carence de vitamines et de minéraux. La diminution ou l’absence d’exercice physique ainsi que le stress peuvent aussi aggraver un état de déprime.

Comment identifiez cet état de déprime ? Vous constatez peut-être une fatigue excessive, un manque d’entrain, un niveau d’anxiété ou de stress plus important, un sommeil de moins bonne qualité, une mélancolie… Alors vous êtes peut-être déprimés ! Attention, cet état peut parfois aller jusqu’à la dépression (en cas de doute n’hésitez pas à consulter un médecin). Ces symptômes très présents en hiver, disparaitront à l’arrivée du printemps lorsque la luminosité augmentera. Comment combattre cet état avant l’arrivée de la belle saison ?

Vous trouverez, ci-dessous, 5 conseils pour garder le moral jusqu’à la fin de l’hiver :

1- Soyez attentifs à votre alimentation

En favorisant des nutriments riches en antioxydants (les fruits, les légumineuses, le thé vert, le chocolat noir...) pour permettre d’augmenter le niveau de mélatonine et en consommant des aliments riches en acides gras oméga-3 comme les poissons gras (le saumon, le hareng, la sardine ou le maquereau…), les huiles végétales (de lin, de canola ou de noix) ou encore des noix de Grenoble… afin de permettre la régulation de la sérotonine et, en autres, de diminuer les risques cardio-vasculaires. Eviter de consommer trop de café, d’alcool, de sucre ou de gras pour leurs effets négatifs à long terme sur votre humeur !

1- Soyez attentifs à votre alimentation

En favorisant des nutriments riches en antioxydants (les fruits, les légumineuses, le thé vert, le chocolat noir...) pour permettre d’augmenter le niveau de mélatonine et en consommant des aliments riches en acides gras oméga-3 comme les poissons gras (le saumon, le hareng, la sardine ou le maquereau…), les huiles végétales (de lin, de canola ou de noix) ou encore des noix de Grenoble… afin de permettre la régulation de la sérotonine et, en autres, de diminuer les risques cardio-vasculaires. Eviter de consommer trop de café, d’alcool, de sucre ou de gras pour leurs effets négatifs à long terme sur votre humeur !

1- Soyez attentifs à votre alimentation

En favorisant des nutriments riches en antioxydants (les fruits, les légumineuses, le thé vert, le chocolat noir...) pour permettre d’augmenter le niveau de mélatonine et en consommant des aliments riches en acides gras oméga-3 comme les poissons gras (le saumon, le hareng, la sardine ou le maquereau…), les huiles végétales (de lin, de canola ou de noix) ou encore des noix de Grenoble… afin de permettre la régulation de la sérotonine et, en autres, de diminuer les risques cardio-vasculaires. Eviter de consommer trop de café, d’alcool, de sucre ou de gras pour leurs effets négatifs à long terme sur votre humeur !

1- Soyez attentifs à votre alimentation

En favorisant des nutriments riches en antioxydants (les fruits, les légumineuses, le thé vert, le chocolat noir...) pour permettre d’augmenter le niveau de mélatonine et en consommant des aliments riches en acides gras oméga-3 comme les poissons gras (le saumon, le hareng, la sardine ou le maquereau…), les huiles végétales (de lin, de canola ou de noix) ou encore des noix de Grenoble… afin de permettre la régulation de la sérotonine et, en autres, de diminuer les risques cardio-vasculaires. Eviter de consommer trop de café, d’alcool, de sucre ou de gras pour leurs effets négatifs à long terme sur votre humeur !

Le corps humain a une faculté extraordinaire d’adaptation : j’ai découvert que l’on pouvait supporter l’insupportable si l’on gardait le moral, même quand le corps souffrait. 

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